Tous les articles par Camille 1312

[Antifa] Dans ta rue !

 

Bye Bye Nation ! Et oui les petits nazillons de la secte Nation aiment s’imaginer être des révolutionnaires. Déjà ces crétins sans imaginations ont récupéré les couleurs du drapeau anarchiste – le rouge et noir (merci la confusion..). Mais en plus ils s’imaginent que vouloir une société encore plus autoritaire que celle déja présente c’est révolutionnaire.. ou subversif !

Non mais qu’ils se cassent dans les oubliettes de l’histoire ces pourritures d’autoritaires suprémacistes.

Antifa tant qu’il le faudra !

[Grèce] Une bombe explose au siège d’un groupe media grec

Du journal rtbf du 17.12.18

Une bombe artisanale a explosé tôt lundi matin devant le bâtiment où siège le groupe de radiotélévision privée Skaï dans la banlieue balnéaire d’Athènes, sans faire de victime, provoquant des dégâts sur la façade de l’immeuble, a indiqué la police.

Le gouvernement a condamné cet « acte terroriste« , le Premier ministre Alexis Tsipras dénonçant un « attentat contre la démocratie« . La police antiterroriste a ouvert une enquête, privilégiant la piste des groupes extrémistes grecs.

La bombe de « grande puissance » composée d’un engin artisanal a explosé vers 2h30 locales, 45 minutes après un appel téléphonique anonyme à une autre chaîne de télévision et à un site d’information pour prévenir de l’imminence de l’explosion, a-t-on appris auprès d’une source policière.

Après cet appel, la police a aussitôt bouclé les rues avoisinantes et évacué l’immeuble où siège la radiotélévision Skaï, l’une des plus importantes du pays, appartenant à la famille d’armateurs Alafouzos.

Éclats

Selon la police, la bombe a été placée dans une rue étroite près de la clôture entourant l’immeuble, ce qui a causé une « grosse déflagration« . Les vitres de la façade du bâtiment de Skaï ont volé en éclat, provoquant « d’importants dégâts« , selon un communiqué de la station, dont le siège est situé dans la banlieue de Néo Phaliro.

Les attentats visant des radiotélévisions, banques, établissements publics ou représentations diplomatiques sont récurrents en Grèce depuis des années, imputés à des groupes anarchistes ou d’extrême-gauche.

Récidive

Le 13 novembre, une tentative d’attentat à l’engin incendiaire avait eu lieu devant le domicile d’un vice-procureur de la Cour de cassation à Athènes. Le dispositif avait été découvert par la police et désamorcé à la suite de deux appels téléphoniques anonymes d’avertissement à deux médias.

L’attentat contre Skaï est « un attentat des puissances lâches et obscures contre la démocratie ; elles ne vont pas toutefois réussir leur objectif, de terroriser ou de désorienter« , a déclaré Alexis Tsipras, cité dans un communiqué de ses services.

Le chef du gouvernement de coalition, mené par son parti de gauche Syriza et du petit parti souverainiste de droite Anel, a exprimé « son soutien sincère aux journalistes et à tous ceux qui travaillent à la chaîne« . Kyriakos Mitsotakis, le chef du parti de droite Nouvelle-Démocratie, principal parti d’opposition, s’est rendu sur place pour exprimer « son soutien aux employés« . « La démocratie et la pluralité ne peuvent être muselées« , a-t-il déclaré.

Plusieurs médias sous un même toit

L’immeuble de plusieurs étages de Skaï abrite également le quotidien Kathimérini, principal journal de centre-droit d’opposition, comme la radiotélévision. « L’attentat terroriste ne va pas nous décourager (…), nous allons continuer à faire notre travail en surveillant le pouvoir avec indépendance« , a indiqué le communiqué de Skaï, accusant le gouvernement de ne pas protéger suffisamment les médias malgré « les menaces récurrentes contre la station« . « Certains cadres gouvernementaux et des mécanismes de propagande ont transformé la station en une cible« , poursuit ce communiqué.

Le porte-parole du gouvernement Dimitris Tzanakopoulos a rejeté ces accusations et « toute tentative de lier cet acte terroriste à la confrontation politique« .

[Analyse] Notes sur le 17 novembre

Source : Rouen dans la rue

Nul ne sait encore si le 17 novembre sera une réussite du point de vue des fameux « gilets jaunes » qui ont lancé cet appel ou de ceux qui comptent bien y participer. Seront-ils des milliers à tenir des points de blocage ce 17 novembre et s’agira-t-il du début d’un mouvement quelque peu singulier ? Ou au contraire l’agitation extrême sur les réseaux dits sociaux échouera-t-elle à se traduire en actes réels et effectifs dans la « vraie vie » ?

Quoi qu’il en soit le mouvement autour du 17 novembre a déjà permis de révéler nombres de tendances propre à notre époque.

Ce n’est pas le moindre des mérites de cette journée qui arrive : on partage des posts de soutien ou de critique, mais surtout on discute et on s’écharpe. À un mois près c’était le sujet d’embrouille n°1 le soir de Noël (avant la France et toute-la-misère-du-monde-qu’elle-ne-peut-pas-accueillir, le réchauffement climatique et les gamins rivés sur leurs écrans toute la soirée).

Ce qui frappe de prime abord, c’est la virulence qui anime ceux qui s’opposent à cette tentative de mobilisation à partir d’une position pourtant critique à l’égard du gouvernement et du monde tel qu’il va. Deux types de raisons sont généralement pointées. Premièrement le fait que l’extrême droite serait à l’origine de cet appel (ce qui est faux nous n’y revenons pas), ou qu’elle l’ait rejoint et fait circuler depuis (ce qui est vrai autant par opportunisme que par réflexe disons populiste). Et de toutes façons, derrière les appareils politiques, les réclamations contre le poids excessif des taxes sont alors identifiées comme le propre de la mentalité du petit commerçant fascisant…

… La suite de l’article ici !

[Justice de classe] L’état libère les assassins de Clément Méric

 

Trouvé sur la page fb de Nantes Révoltée.

JUSTICE : NÉO-NAZI EN LIBERTÉ – ANTIRACISTES MENACÉS DE PRISON

Chronique de la justice en France : d’un côté, un néo-nazi violent bénéficie d’une libération très anticipée. De l’autre des anti-racistes non violents risquent la prison. Ces deux évènements ont eu lieu en même temps cette semaine. Tout un symbole.

Hier jeudi 8 novembre, des militants étaient jugés à Gap pour … avoir manifesté le 22 avril dernier contre l’extrême droite. Pour avoir soutenu des réfugiés. Ils sont donc poursuivis pour avoir fait preuve de la solidarité la plus élémentaire, avec des personnes en danger. Et devinez quoi ? Le procureur, qui représente l’État, a réclamé de la prison ferme pour deux inculpés ! Et des peines de prison avec sursis pour 5 autres militants.La justice cherche à enfermer ceux qui n’ont fait qu’aider d’autres êtres humains. Ce réquisitoire judiciaire est d’une extrême gravité, et résonne avec les récentes déclarations pétainistes du président.

En même temps, on apprend qu’Esteban Morillo, le néo-nazi responsable de la mort du jeune Clément Méric vient d’être remis en liberté. Il avait pourtant été lourdement condamné en septembre par un jury populaire, qui l’avait reconnu coupable de « coups mortels avec arme ». La justice décide donc de libérer un militant d’extrême droite violent qui vient d’être condamné par des jurés. Selon les journalistes, cette libération se voulait « discrète » et « en catimini ». S’agit-il d’une remise en liberté anticipée en échange de services ? Ce ne serait pas étonnant, tant les liens entre l’extrême droite et certains services de l’État sont profonds, et tant ce milieu regorge de balances en tout genre. Quoiqu’il en soit, cette affaire a de quoi faire rire jaune, puisque l’extrême droite passe son temps à critiquer le soi-disant « laxisme de la justice ».

Impunité pour l’extrême droite. Harcèlement répressif pour celles et ceux qui s’opposent au racisme. Malheureusement, rien de nouveau, mais toujours aussi révoltant.

Sources :

Aide aux migrants : jusqu’à quatre mois de prison ferme requis contre les «sept de Briançon»
http://www.leparisien.fr/…/aide-aux-migrants-jusqu-a-quatre…

Esteban Morillo, le skin qui a tué Clément Méric, est sorti de prison
https://www.streetpress.com/…/1541761930-esteban-morillo-me…

 

[La police travaille] USA : un policier tue un agent de sécurité noir qui venait de neutraliser un tireur

de la RTBF info du 13/11/18.

Une enquête était en cours mardi après qu’un policier américain blanc eut tué un agent de sécurité noir qui venait de neutraliser un tireur lors d’une fusillade dans un bar de la banlieue de Chicago.

Jemel Roberson, 26 ans, a été abattu aux premières heures de dimanche, alors qu’il était en service dans un bar de Robbins, près de Midlothian, à une trentaine de kilomètres de la métropole du nord. Selon des témoins, cités par les médias locaux, une bagarre venait de se déclencher dans le bar et une personne avait commencé à tirer, faisant des blessés.

Jemel Roberson, qui portait une arme et un uniforme barré de la mention « Sécurité« , avait réussi à neutraliser le tireur avant l’arrivée de la police, selon ces témoins. « Il tenait un homme au sol, avec son genou à terre et son arme dans le dos comme pour lui intimer de ne pas bouger« , a rapporté l’un d’eux, Adam Harris, sur la chaîne de télévision locale WGN.

Arrivé en renfort, un policier lui a tiré dessus alors que « tout le monde criait +sécurité, c’est un gardien de sécurité+« , a ajouté Adam Harris. « Il a vu un homme noir avec une arme et il l’a tué« , a-t-il estimé.

Une enquête ouverte

Jemel Roberson était « un homme bon qui faisait de son mieux pour mettre un terme à une fusillade« , a reconnu dans un communiqué le chef de la police de Midlothian, Daniel Delaney, en présentant ses condoléances à la famille.

La police de l’Illinois a ouvert une enquête sur « cet événement tragique » pour « assurer la transparence et maintenir la confiance du public« , a-t-il ajouté. Le nom du policier n’a pas été divulgué mais une source au commissariat a confirmé qu’il était blanc, en précisant qu’il avait été suspendu.

La famille de Jemel Roberson, qui est décédé à l’hôpital, a déposé plainte contre le policier et le village de Midlothian pour « usage excessif de la force« . Ce décès s’inscrit dans une longue série de bavures policières impliquant souvent des agents blancs contre des hommes noirs, qui ont donné naissance au mouvement « Black Lives Matter » (la vie des Noirs compte).

[la police travaille] Tous les uniformes ne sont pas bleus

de A.V. du journal Vers L’avenir du 14/11/18.

Des élèves choqués par un contrôle TEC-police: «Les bus étaient encerclés»

Un contrôle effectué lundi soir dans des bus du TEC a marqué les esprits d’étudiants des écoles de Welkenraedt.

«Après nos cours, (NDLR: vers 16 h 30), nous nous sommes rendus à la gare des bus, comme d’habitude. En arrivant, le chauffeur a ouvert toutes les portes. Ça n’arrive pas souvent. Vu le monde, beaucoup en ont profité pour entrer par l’arrière afin d’avoir une place assise. Une fois au niveau de la place de Welkenraedt, le bus a changé d’itinéraire pour se diriger vers le site des pyramides (NDLR: le centre culturel). Là, nous avons vu des policiers et des contrôleurs du TEC. Les bus étaient encerclés. Le dispositif était assez énorme. Nous nous sommes demandé ce qu’il se passait. Cherchaient-ils une arme? Deux, trois personnes du nôtre (NDLR: un des deux de la ligne 716 – Welkenraedt-Limbourg – qui circule à cette heure-là) ont été contrôlées.

Malheureusement, une d’entre elles n’avait pas validé son abonnement en entrant dans le bus. C’est alors qu’ils ont fait sortir tout le monde.»

Comme des dizaines, pour ne pas écrire des centaines, d’étudiants de la région, Clara Julémont (16 ans) a subi le contrôle organisé par le TEC, lundi en fin de journée, à Welkenraedt. Et, à l’image de beaucoup, elle a été outrée d’être accueillie par des policiers, armés, en gilets pare-balles. «Nous étions uniquement des étudiants, âgés de 11 à 18 ans. Je ne crois pas que nous méritions tout ça. Nous n’avons, en plus, pas été très bien traités: un contrôleur du TEC a demandé, sur un ton moqueur, à une personne qui n’avait pas validé son abo: ‘‘Vous ne prenez jamais le bus, ou quoi?”, tandis que j’ai eu droit à une remarque sévère car je prenais des photos des événements», raconte la jeune Goétoise.

«Sommes-nous dans un État militaire?»

Menés selon un calendrier bien précis, ces contrôles conjoints TEC-police sont réguliers sur les différentes lignes de la société publique. «Les policiers sont en appuis, au cas où ils doivent prendre le relais pour quelque chose qui dépasse les compétences de nos contrôleurs. Comme une absence de papier d’identité, un comportement suspect, la découverte de drogue», explique Stéphane Thiery, porte-parole du TEC. «Généralement, ils sont bien expliqués et rien n’est agressif. Je trouve que les parents devraient être davantage rassurés que mécontents de voir que des contrôles sont effectués.»

Ça n’a pas l’air d’être le cas de Flavia Barosco, la mère de Clara (et de deux autres jeunes, scolarisés à Welkenraedt, présents dans des bus «ciblés»). «Ce n’est pas le fait de contrôler qui me dérange, mais la manière dont ça a été fait ici. Ça ressemble à un traquenard. Je ne comprends pas. Je suis triste. Sommes-nous dans un État militaire? Je n’en veux pas à la police… mais sa présence était démesurée pour des étudiants», s’exclame-t-elle. «Une de mes filles a une amende de 10 euros, alors qu’elle a validé son abonnement. Si en plus leurs outils ne fonctionnent pas… Je ne compte certainement pas la payer. Et envoyer une lettre au TEC pour regretter les événements d’hier soir (NDLR: lisez lundi soir). »

 

[Brochure] Le viol ordinaire

Temps de lecture approximatif de la brochure : 10-15min. 8 pages.

Brochure aussi juste que percutante car traitant de la culture du viol sous caractère le plus sournois et surtout le plus répandu « le viol déguisé en amour, le viol de la soirée entre amis, le viol du foyer, le viol du petit copain… »
Ce récit personnel sous forme d’analyse d’une lettre écrite parle violeur témoigne du coté structurel de cette clé de voûte du patriarcat.

Dispo en papier à prix libre parmi les autres brochures de l’infothèque.
Check une date et un lieu d’ou on se posera et viens !
Sinon elle est toujours dispo ici, sur infokiosques.net.